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Sujet: Résumé des épisodes & informations sur la série Mar 29 Juil - 12:02 | |
| Informations Bonjour, bonsoir!
Si vous venez dans ce sujet, c'est que vous êtes sur ce forum mais que vous ne connaissez pas ou peu son sujet, à savoir Sherlock, une série de la BBC One adaptant les aventures de Sherlock Holmes (écrites, à la base, par Sir Arthur Conan Doyle). Ce sujet regroupe une description de tous les épisodes de la série ainsi que quelques informations utiles pour faire évoluer votre personnage dans ce monde. Évidemment il est toujours mieux de regarder la série (disponible un peu partout sur internet, il suffit de chercher d'ailleurs), mais nous mettons quand même ceci à votre disposition.
Tout d'abord, il faut savoir que la série se déroule dans un Londres version XXIe siècle, en 2014, à priori. Nous nous trouvons après les événements de la troisième saison. Pour plus d'informations, voir le contexte. Résumés SAISON 1
- épisode 1 - Une Étude en Rose (A Study in Pink):
John Watson est un médecin militaire revenu tout récemment d'Afghanistan, où il a été blessé d'une balle à l'épaule. Il souffre également d'une claudication (psychosomatique, selon sa thérapeute) qui l'oblige à se munir d'une canne. Il vit seul dans un petit appartement à Londres. Un jour, alors qu'il se promenait, il rencontre son ancien collègue et ami, Mike Stamford, avec qui il engage la discussion. Ce dernier lui apprend qu'il connaît quelqu'un qui cherche un colocataire, ce à quoi John lui répond : « Qui voudrait de moi comme colocataire? ». Coïncidence, il est la deuxième personne à avoir répondu cela à Mike... C'est ainsi qu'il fait la connaissance de Sherlock Holmes, brillant détective consultant (le seul, il a inventé le métier) travaillant ''bénévolement'' pour le Scotland Yard. À leur première rencontre, Sherlock impressionne John et déduisant tout de son passé, et les deux finissent par accepter de se rencontrer pour un appartement. L'adresse? 221B Baker Street. Leur logeuse, Mme Hudson, les y accueille, mais à peine sont ils arrivés que l'inspecteur Lestrade – officier au Scotland Yard – fait son apparition dans l'appartement. En effet, depuis quelques temps, une étrange affaire de suicides tous similaires fait parler, et un quatrième vient tout juste de se produire. Le Yard doit donc faire appel à Sherlock, qui, lui, emmène John en tant que son assistant. Ils examinent le cadavre, une femme toute de rose vêtue, et examinent également le mot qu'elle a laissé, gravé au sol, « Rache ». Plus tard, Sherlock réussit à retrouver la valise de la femme qui contenait son adresse e-mail. Le mot gravé au sol était en fait le mot de passe de l'adresse e-mail, et l'adresse e-mail permettait de retracer la position du téléphone de la femme, que le criminel avait gardé. Car oui, il ne s'agissait pas de suicides, mais bien de meurtres. Et le meurtrier, c'était un chauffeur de taxi, le seul homme à qui on fait confiance sans le connaître, le seul homme qui passe inaperçu dans la foule. Et ce chauffeur de taxi se trouvait en bas du 221B, attendant Sherlock. Ce dernier prit place dans le véhicule et le chauffeur l'amena dans un endroit isolé pour soumettre Sherlock au test auquel il soumettait ses victimes. Il avait deux pilules, l'une inoffensive, l'autre mortelle. La victime choisit l'une, le chauffeur prend l'autre, les deux la mangent. C'est un jeu dangereux, un jeu où on peut perdre la vie, et le chauffeur sait que Sherlock ne pourra pas résister à la tentation de tester son génie, de voir si il peut le vaincre. Alors que le détective, pilule en main, s'apprêtait à risquer sa vie, un coup de feu retentit et le chauffeur tomba à terre, transpercé d'une balle. John Watson, qui avait réussis à les suivre, venait de le tuer de sang froid pour sauver Sherlock.
- épisode 2 - Le Banquier Aveugle (The Blind Banker):
Au Musée national d'antiquités, une experte en poterie chinoise appelée Soo Lin Yao voit quelque chose qui la terrifie et disparaît. Pendant ce temps, Watson a des problèmes d'argent, et doit trouver un travail rémunéré. Holmes l'emmène à « la banque », qui s'avère être une compagnie financière de haut vol. Là, Sebastian Wilkes, une vieille connaissance de Holmes datant de l'université, lui demande de l'aide, en échange d'une énorme somme. Une effraction a eu lieu au cours de laquelle rien n'a été volé, mais deux symboles sans aucune signification apparente ont été peints à la bombe sur le mur d'un bureau. Holmes comprend que c'était un message destiné à un seul homme - Eddie Van Coon du bureau de Hong Kong - qui n'est pas venu travailler. Holmes se rend dans l'appartement verrouillé de Van Coon et l'y trouve mort. La police, sous les ordres du Détective Inspecteur Dimmock, est prête à conclure au suicide, bien que Holmes voie là un meurtre. Et bientôt le journaliste Brian Lukis est lui aussi trouvé mort dans son appartement verrouillé. Holmes et Watson mènent l'enquête, et ils découvrent que dans une bibliothèque où Lukis s'était rendu les mêmes symboles ont été peints sur une étagère. Pendant ce temps, Watson a trouvé un poste de remplaçant dans une clinique locale où il travaille avec Sarah. Holmes et Watson finissent par découvrir un lien entre les deux victimes : les deux hommes venaient de rentrer de Chine, et tous les deux s'étaient rendus dans une boutique de curiosités orientales « The Lucky Cat ». Watson s'y aperçoit que les symboles proviennent d'un ancien système chinois de numération. Holmes visite l'appartement de Soo Lin Yao, vide depuis plusieurs jours. Au musée ils trouvent les mêmes symboles sur une statue. Ensuite, avec l'aide du graffeur "Raz", Holmes et Watson détectent d'autres symboles sur les murs d'un dépôt ferroviaire, et s'efforcent de décoder le message. De retour au musée d'antiquités, Holmes découvre Soo Lin qui lui explique que le code est le travail du gang du Lotus Noir dont elle est une ancienne membre. Malheureusement, avant qu'elle n'ait pu décoder le message, l'assassin qui se révèle être le frère de Soo Lin, frappe encore, tuant sa sœur. Holmes réalise que Van Coon et Lukis sont des membres du gang, faisant de la contrebande d'antiquités provenant de Chine, et qu'il ont été tués parce que l'un d'entre eux avait volé quelque chose. Holmes sait que le message est chiffré grâce à un livre-code, et lui et Watson passent la nuit à comparer les livres que possédaient les deux victimes pour essayer de trouver la solution. Le lendemain, Watson se rend à son premier jour de travail mais il finit par s'endormir dans sa salle de consultation ayant passé toute la nuit éveillé. Sarah le couvre et Sherlock arrange un rendez-vous dans un cirque local pour eux trois. Pendant que John et Sarah regardent le spectacle, Holmes s'en va fouiller les loges où il se fait attaquer. Il parvient à s'enfuir avec l'aide de Sarah et Watson. Pendant que Holmes continue de chercher le livre-code, John et Sarah sont kidnappés. Sarah est attachée et bâillonnée et mise en face d'une gigantesque arbalète qui va bientôt la tuer. Les criminels pensent que Watson est Sherlock Holmes et veulent lui faire avouer l'emplacement du "trésor" disparu. Heureusement, Holmes trouve la solution du code, lit le message et parvient à sauver John et Sarah. Il réalise aussi que le "trésor" était sous leur nez depuis le début : une épingle de jade que Van Coon avait offert à sa secrétaire Amanda. Plus tard, la chef du gang chinois discute avec un interlocuteur caché sur internet qui utilise la lettre "M" comme identifiant. La chef assure à son commanditaire qu'elle ne révélera jamais son nom à Sherlock Holmes, "M" lui assure également qu'elle ne le fera pas : la trace d'un viseur laser apparaît entre les deux yeux de la chef et un coup de feu retentit. (wikipédia)
- épisode 3 - Le Grand Jeu (The Great Game):
Sherlock n'a plus de cas intéressant à résoudre. Il s'ennuie tellement qu'il en vient à tirer dans le mur pour s'occuper (ce qui ne manque pas d'énerver Mme Hudson). Soudain, une explosion survient dans l'immeuble d'en face, clouant Sherlock au sol. John, l’apprenant le lendemain matin (il était allé passer la nuit chez Sarah), accourt à Baker Street, où il trouve Sherlock et Mycroft en pleine discussion. Mycroft à une enquête à lui donner : un homme, Andrew West, a été retrouvé la tête écrasée par un train. Là est l'affaire : on suppose qu'il avait en sa possession une clé USB contenant une copie de plan top-secret, et on ne sait pas où elle se trouve. L'aide de Sherlock est donc requise. Ce dernier ne veut pas accepter, mais John prend quand même le dossier. Mycroft part, et Sherlock se fait appeler par Lestrade. Lui et John partent donc vers le Scotland Yard où il retrouvent le détective-inspecteur, qui leur apprend que l'explosion qui a eu lieu, contrairement à ce qui avait été dit, n'était pas une fuite de gaz (bien qu'elle ait été faite pour y ressembler). Dans l'appartement, on a trouvé un coffre fort contenant une lettre pour Sherlock, elle-même contenant un téléphone rose. John soupçonne que c'est celui de l'Étude en Rose, mais Sherlock dit plutôt que quelqu'un s'est donné du mal pour qu'il y ressemble. À l'instant, le téléphone bippe et un message vocal se fait entendre. Cinq tonalités se font entendre, un avertissement, puis une photo s'affiche. C'est le 221C Baker Street, appartement vide au sous-sol, dans lequel ils se rendent. Celui-ci contenait des chaussures. Sherlock, quand il se retrouve devant la paire, reçoit un appel d'une femme en pleurs. Elle parle, mais en se faisant dicter ce qu'elle doit dire, car elle n'est qu'une otage. Sherlock a douze heures pour résoudre le cas des chaussures, sans quoi les bombes posées sur elle exploseront. Se mettant à la tâche, Sherlock parvient, en neuf heures, à résoudre le mystère. Les chaussures étaient celles de Carl Powers, un enfant s'étant noyé alors que Sherlock était lui aussi jeune. Powers ne s'était en fait pas noyé, on avait empoisonné sa crème contre l'eczéma, et c'est ainsi qu'il mourut. Sherlock poste cette conclusion sur son blogue et reçoit un nouvelle appel de la femme en pleur, qui lui demande de la sauver. La police la retrouve et elle est mise en lieu sûr. Plus tard, Sherlock reçut un deuxième appel, celui-ci avec quatre bips et une photo de voiture. Puis, un autre appel, cette fois c'est un homme qui est pris en otage, avec plusieurs explosifs sous son manteau. Sherlock a huit heures devant lui. Grâce à Lestrade, on apprend que la voiture appartient à un homme qui a été retrouvé mort, un certain Ian Monkford. Il avait loué la voiture la veille et le véhicule avait été retrouvé vide, couvert du sang de Monkford. Sherlock interroge sa femme, puis l'homme qui a loué la voiture à Monkford. Sherlock observe qu'il est bronzé légèrement, alors qu'il prétend ne pas avoir le temps ou l'argent pour des vacances, et que son portefeuil est rempli de vingt-mille pesos colombiens. En remarquant par la suite que le sang dans la voiture totalise une quantité d'exactement un demi-litre, mais qu'en plus il a été congelé, Sherlock en déduit ceci : Monkford avait trop de problèmes d'argent et il devait disparaître. On l'a aidé à « mourir » pour ensuite l'installer en Colombie. Le mystère résolu, l'otage au téléphone est retrouvé et sauvé. Un troisième message. Cette fois, c'est la photo d'une présentatrice connue, Connie Prince, retrouvée morte. Un autre otage l'appelle, cette fois une vieille femme aveugle, et l'informe qu'il a douze heures devant lui. Apparemment, la mort de Connie a pour cause le tétanos – elle se serait coupée sur un clou rouillé –, mais Sherlock croit que ce n'est pas ça qui l'a tuée. Après avoir observé le corps, John l'informe que le virus est dans son corps depuis huit à neuf jours, éliminant donc la possibilité de la maladie. Ils se rendent à la maison de Connie, où réside maintenant son frère et Raoul de Santos. John pense que le virus a été mis sur les griffes de leur chat, mais pas Sherlock. Il croit plutôt que c'est Raoul de Santos qui a fait ça pour venger le frère de Connie, avec qui elle était en conflit constant. Une histoire de vengeance. En effet, c'était de Santos qui devait injecter sa dose quotidienne de botox à Connie, et il a finit par augmenter la dose, volontairement, et la tuer. Holmes et Watson reviennent au Yard, et Sherlock apprend à Watson qu'il a résolu cette affaire-ci depuis longtemps et que ça lui a laissé le temps d'avancer sur le cas d'Andrew West. Il sont en avance sur le criminel. Ils reçoivent un nouvel appel de l'otage. Malheureusement, celle-ci parle trop, commençant à décrire son agresseur, et elle est tuée par les bombes sur elle. L'explosion souffle plusieurs étage de l'immeuble où elle se trouvait, tuant une douzaine de personne. Quatrième message. Cette fois, il s'agit d'une vue de la Tamise, quelque-part entre Southwark et Waterloo. Un corps y est retrouvé, un vigile de musée selon Sherlock. D'après lui, il a été tué par un assassin se faisant appeler le Golem parce-qu'il savait quelque-chose qui empêcherait la propriétaire du musée d'empocher trente million de livres. Sherlock s'introduit dans le musée en se faisant passer pour un vigile, et parle à la propriétaire, lui disant qu'il sait qu'il sait que le tableau est un faux. Plus tard, Sherlock retrouve le Golem, qui tente de tuer une astronome qui était entrée en contact avec le vigile. Sherlock et John, accompagnés de Lestrade, retournent au musée et contactent l'homme au téléphone pour lui dire qu'ils savent que c'est un faux. Mais pour que l'otage soit libéré, Sherlock doit le prouver, il demande alors du temps. Une voix de petit garçon entame un compte à rebours de dix secondes. La preuve était la suivante : le tableau représentait une supernova qui n'existait pas au temps où il a été peint. C'est donc bel et bien un faux. L'enfant est sauf. Holmes et Watson se remettent sur l'affaire Andrew West. Après avoir appris qu'il n'y avait pas de sang sur la voie là ou West a été retrouvé, Holmes en déduit qu'il n'a pas été tué là. Ils se rendent dans l'appartement de Joe Harrisson, le frère de la fiancée de West. D'après Sherlock, il a volé la clé USB et tué son futur beau frère. Cette théorie s'avère être vraie. En fait, West avait appris que Harrisson s'était emparé des plans (il avait des problèmes d'argents et pensait que ces plans pouvaient rembourser ses dettes), et il se sont brouillé. Harrisson a poussé West dans les escalier et l'a tué par accident, et comme il vivait près des chemins de fers il a lancé le cadavre sur un train, cadavre qui est tombé quelques stations plus tard. La clé USB récupérée par Holmes, celui-ci la rend à Mycroft. Sherlock donne ensuite rendez-vous au mystérieux poseur de bombe à la piscine, à minuit. D'abord, il ne voit pas son ennemi. C'est John qui apparaît, comme otage, avec des explosifs sous le manteau. L'homme apparaît enfin. Il s'agit de Moriarty. Après une confrontation verbale avec Holmes, il s'en va. Sherlock débarasse John de ses bombes, mais Moriarty revient, ses snipers pointant leur lasers vers le détective et son assistant. Sherlock, quant à lui, pointe de son arme les bombes gisant maintenant au sol. L'épisode se termine ainsi, sans qu'on sache si tous mourront ou si tous vivront.
SAISON 2
- épisode 1 - Un Scandale à Buckingham (A Scandal in Belgravia):
L'épisode suit immédiatement les événements de la fin de Le Grand Jeu. Jim Moriarty, dont les tireurs visent Sherlock Holmes et le docteur Watson et qui a énoncé son intention de les faire tuer tous les deux, est interrompu par un appel téléphonique d'une femme. Il s'en va, ayant « reçu une meilleure offre », permettant à Sherlock et John de retourner à leur appartement du 221B Baker Street. Sherlock résout un certain nombre d'affaires dans les semaines qui suivent, en refusant d'autres parce qu'elles ne l'intéressent pas, avec en particulier le cas d'un homme qui proclame que les cendres de sa tante ne sont pas les siennes et deux fillettes à qui on n'a pas laissé voir leur grand-père décédé. Sherlock acquiert une petite notoriété grâce au blog qu'écrit John au sujet de ses enquêtes. Un jour, le frère de Sherlock, Mycroft, fait amener les deux hommes à Buckingham Palace pour une discussion. Mycroft et un fonctionnaire de la maison royale expliquent que des photographies compromettantes d'une membre de la famille royale ont été prises avec la dominatrice Irène Adler, et qu'elle souhaite les récupérer. Tandis que Sherlock passe en revue quelques clichés d'Adler, qui se fait appeler sur son site Internet The Woman, celle-ci parcourt des photos de lui. Sherlock et John se rendent au domicile d'Adler, tentant d'utiliser un stratagème pour s'y introduire. Mais en fait, Adler les attendait et après avoir envisagé diverses tenues, elle apparaît parfaitement apprêtée, mais totalement nue. Sherlock est par conséquent incapable de procéder à une de ses habituelles déductions à son sujet. Après quelques joutes verbales entre Sherlock et Adler, John déclenche l'alarme d'incendie et Sherlock peut ainsi trouver l'emplacement du coffre-fort d'Adler (selon sa théorie où le feu révèle nos priorités), où un smartphone contenant les photos compromettantes, de même que d'autres informations de grande valeur, est protégé. Plusieurs agents américains surgissent et tiennent en joue Sherlock, John et Adler, exigeant que Sherlock ouvre le coffre-fort. Sherlock parvient à déduire le mot de passe (les mensurations d'Adler) et il ouvre le coffre qui est piégé avec une arme à feu qui tue un des agresseurs. Ils désarment les autres. Sherlock se saisit du téléphone d'Adler, mais elle l'attaque avec une seringue droguée et s'échappe par une fenêtre avec l'appareil, uniquement vêtue du manteau de Holmes. Pendant ce temps, John est dans une autre pièce. De retour à son appartement, Sherlock a un rêve délirant dans lequel il voit Irène lui ramenant son manteau. Il se réveille pour découvrir que son manteau a mystérieusement réapparu et qu'Adler a ajouté son numéro dans son répertoire de téléphone, avec un signal d'appel qui est un soupir de plaisir féminin. Plus tard, alors qu'ils fêtent Noël, Sherlock apprend (via un SMS) qu'Adler lui a envoyé le téléphone pour le lui confier. Sherlock annonce à Mycroft qu'on va trouver sous peu Adler morte, sachant la valeur qu'Adler accorde à son téléphone. Quelques moments plus tard, les deux frères Holmes arrivent à la morgue de St Bartholomew's Hospital où Holmes identifie le corps mutilé d'Adler. Croyant que l'attitude stoïque de Sherlock est un signe de deuil, John est alors contacté par une femme inconnue (qu'il prend pour une des collaboratrices de Mycroft), qui l'amène à la centrale électrique abandonnée de Battersea. Le contact s'avère être Irène, et pas Mycroft, qui a simulé sa propre mort pour faire perdre sa propre trace à ses poursuivants. John la presse de l'annoncer à Sherlock. Elle refuse d'abord, puis se laisse convaincre. Irène et John discutent alors de la nature de leur relation respective avec Sherlock ; pendant ce temps, le signal d'appel personnalisé d'Adler est entendu dans un couloir voisin, révélant la présence de Sherlock et le fait qu'il sait qu'Adler est en vie. De retour au 221B, Sherlock détecte les signes d'une intrusion et trouve les agents américains qui étaient venus à la résidence d'Adler tenant Mme Hudson en otage. Sherlock comprend immédiatement que sa logeuse a été torturée et prépare des représailles extrêmes. Durant la confrontation, Sherlock obtient le départ de deux des hommes de main, le laissant seul avec leur chef. Alors que celui-ci le fouille, Sherlock l'attaque par surprise, le passe à tabac et le jette par la fenêtre. Un peu plus tard, Sherlock trouve Adler endormie dans sa chambre. Irène déclare qu'elle est encore pourchassée et demande à Sherlock de déchiffrer un code qu'elle a volé à un fonctionnaire du Ministère de la Défense. Il déchiffre facilement le code, annonçant qu'il s'agit de l'attribution des sièges dans un avion de ligne. Irène envoie en secret le numéro du vol à son contact, Jim Moriarty. À son tour, Moriarty envoie un message à Mycroft Holmes, lui révélant qu'il est à présent informé d'un stratagème du Ministère pour tromper une cellule terroriste qui prévoyait de faire exploser le vol. Mycroft est manifestement ébranlé par cette annonce. Sur le chemin d'Heathrow, où des officiels sont venus pour l'emmener, Sherlock se souvient d'allégations selon lesquelles le gouvernement britannique avait laissé faire le bombardement de Coventry, de façon à ne pas informer les services allemands que leurs codes militaires avaient été déchiffrés. Ses soupçons qu'une situation semblable se produit sont confirmés par Mycroft à bord de l'avion, qui a été rempli de cadavres. Le gouvernement a décidé de faire voler un « faux avion » de façon à ne pas alerter les saboteurs tout en évitant des victimes. Cependant, comme Sherlock a aidé Irène, et, sans le savoir, Moriarty, à déchiffrer le message, le stratagème a été éventé. Plus tard, les frères Holmes et Irène ont une discussion, et Adler annonce une série de conditions, y compris des mesures de protection pour elle-même, pour la remise d'autres informations confidentielles. Mycroft n'a pas de solution ; cependant, au dernier moment, Sherlock fait face à Adler, finissant par déduire le mot de passe du smartphone. En dépit de la froide affirmation par Adler que Sherlock ne signifie rien pour elle, le raillant pour son manque d'expérience amoureuse ou sexuelle, il a déjà conclu qu'elle ment. Il indique la dilatation de ses pupilles, et l'élévation de son pouls lorsqu'ils sont seuls à seuls. Il tape les lettres S-H-E-R sur le téléphone, ce qui permet de lire sur l'écran « I AM S-H-E-R LOCKED ». Le remettant à son frère, Sherlock sort, ignorant les suppliques d'Irène pour une protection. Sans l'assurance sur la vie que les informations qu'elle détenait lui assuraient, il est peu vraisemblable qu'elle puisse échapper à ses ennemis. Deux mois plus tard, Mycroft informe John qu'Adler a été décapitée par une cellule terroriste à Karachi, mais lui demande de mentir à Sherlock en disant qu'elle a rejoint un programme américain de protection des témoins. Sherlock semble croire cette information et demande à John de lui remettre le téléphone d'Adler, sur lequel il relit les nombreux SMS séducteurs qu'elle lui avait envoyés. La scène suivante est un flashback de l'exécution d'Adler. Mais Sherlock avait infiltré la cellule terroriste et la sauve au dernier instant. (wikipédia)
- épisode 2 - Les Chiens de Baskerville (The Hounds of Baskerville):
Sherlock Holmes s'ennuie ferme dans son appartement et attend avec impatience la prochaine affaire. Après avoir repoussé un e-mail venant d'une fillette qui lui demandait de rechercher son « lapin lumineux » nommé Bluebell, il reçoit la visite de Henry Knight, un homme dont le père aurait été tué par un molosse gigantesque dans le Dartmoor vingt ans plus tôt. Henry, alors jeune garçon, a fui terrorisé avant d'être retrouvé errant et confus le lendemain matin. Après plusieurs années de thérapie, Henry a tenté de retourner sur les lieux du drame, une caverne dans les bois, mais la peur est revenue et Henry a préféré demander l'aide du détective. D'abord peu intéressé, Sherlock se prend soudainement de passion pour l'affaire quand Henry utilise le mot « molosse » (« Hound » en anglais) pour décrire la bête. Sherlock et John interrogent les habitants de la région sur la légende de la bête, qui est très populaire et attire les touristes qui la cherchent dans les collines, avant de visiter le centre de recherche militaire Baskerville où se trouverait l'explication à ce mystère. Sherlock se joue de la sécurité avec une carte d'identification qu'il a subtilisée à son frère Mycroft, homme haut-placé du gouvernement. Ils sont ainsi présentés à plusieurs officiers de la base : le Major Barrymore, les généticiens Dr Stapleton et Dr Frankland. Sherlock déduit que le Dr Stapleton est la mère de la fillette qui l'a contacté pour son lapin Bluebell. Quand leurs identités sont remises en question et qu'une alerte est lancée, ils sont stoppés par le Major Barrymore qui menace de les arrêter, mais le Dr Frankland leur vient en aide en désignant Sherlock comme étant Mycroft. Frankland leur confie par la suite qu'il connaissait bien le père de Henry et qu'il s'inquiète de la santé de celui-ci. Dans la soirée, Sherlock et John rendent visite à Henry Knight, qui leur révèle se souvenir des mots « Liberty » et « In » qu'il voit dans ses rêves. Sherlock convainc alors Henry de retourner dans la lande pour affronter la bête. En chemin, John est distrait et suit une route où il surprend des signaux lumineux qu'il interprète comme du code morse. Pendant ce temps, Sherlock et Henry arrivent sur place et connaissent un épisode de terreur avant de fuir rapidement. Dans la nuit, à leur auberge, Sherlock se montre encore secoué et avoue avoir également vu la bête bien qu'il ait affirmé le contraire à Henry. John cherche encore à décoder le signal en morse, mais découvre qu'il s'agit en réalité de phares de voiture allumés aléatoirement par un couple en pleine action dans le véhicule. Pendant le retour, Sherlock demande à John d'interroger la thérapeute de Henry, Dr Louise Mortimer. Alors qu'ils dînent ensemble, le Dr Frankland s'immisce et ruine la couverture de John en le qualifiant d'assistant de Sherlock, ce qui entraîne le départ précipité de Mortimer. De son côté, seul chez lui, Henry a des hallucinations et croit voir la bête. Au matin, Sherlock suggère que le terme « hound » ne serait pas à prendre comme un mot, mais comme une acronyme. Ils rencontrent alors l'inspecteur Lestrade, envoyé au Dartmoor par Mycroft pour surveiller Sherlock de près. Ils interrogent les aubergistes sur une découverte de John : la grande quantité de viande commandée par les propriétaires de l'auberge, dont le restaurant est pourtant végétarien. Ils avouent alors qu'ils possédaient un chien qu'ils utilisaient pour entretenir la légende, avant de se résoudre à le faire tuer parce que l'animal était incontrôlable. Lestrade repart satisfait contrairement à Sherlock, toujours sûr que le chien qu'il a vu était monstrueux. Grâce à une autorisation de Mycroft, Sherlock obtient un accès libre à Baskerville pour 24 heures, ce qui fait enrager le Major Barrymore. Dans les niveaux souterrains du bâtiment, John fouille les laboratoires génétiques où il voit des cages pour animaux et quelques tuyaux de gaz qui fuient dans une chambre hermétique. En sortant de la pièce, il est aveuglé par un flash lumineux et une sirène hurlante. Essayant de quitter les lieux, il voit que son passe ne fonctionne plus. Il entend un grognement et s'imagine déjà face au molosse. Watson s'enferme alors dans une des cages et appelle Sherlock sur son téléphone, et ce dernier lui demande de lui décrire l'animal. Terrifié, John reste muet avant d'être sauvé par Sherlock. Les deux hommes vont alors voir le Dr Stapleton, qui avoue que des expériences génétiques sont menées sur les animaux. Toutefois, Sherlock croit que le chien est plutôt une hallucination causée par une drogue contenue dans le pot de sucre de Henry Knight, mais l'analyse du sucre ne montre rien. Par la méthode des loci (« palais de mémoire »), Sherlock déduit que les mots « Liberty » et « In » vus par Henry dans ses rêves désignent en fait la ville de Liberty, dans l'Indiana. Mettant la généticienne dans la confidence, Sherlock et John essaient d'accéder aux dossiers confidentiels de la base de données de Baskerville, avant d'être stoppé par un mot de passe protégé par la CIA, connu du Major Barrymore seul, mais Sherlock le découvre rapidement en observant le bureau du commandeur (il affiche une grande admiration pour Winston Churchill, et plus particulièrement Margaret Thatcher, ce qui amène Sherlock à saisir « Maggie »). Le mot « hound » est alors désigné comme l'acronyme d'un projet militaire secret concernant le développement d'une arme chimique qui provoque de violentes hallucinations. L'acronyme est basé sur les noms des cinq scientifiques du projet datant des années 80, mais aucun ne serait encore en vie. Sherlock remarque un des jeunes assistants dans le fond de la photo, qu'il reconnait comme étant le Dr Frankland. À ce moment, John reçoit un appel téléphonique du Dr Mortimer : Henry a fui son bureau, armé et totalement confus. Supposant que Henry est retourné dans la lande où son père est mort, Sherlock appelle Lestrade en renfort avant de rejoindre les bois. Henry Knight y est en pleine crise d'hallucinations et est sur le point de se tuer. Sherlock parvient à lui parler et le calmer en lui expliquant que le mâtin n'est qu'une hallucination et que son père a en fait été tué par Frankland, qui portait un masque à gaz avec des optiques rouges et un T-shirt avec écrit « Hound. Liberty, In » dessus. Les souvenirs de Henry ont été troublés par le traumatisme mais comme les faits lui revenaient, il devait être réduit au silence. afin donc d'éviter les soupçons de meurtre, Frankland a choisi de rendre Henry fou, ce qui aurait remis en cause la véracité de son histoire. Ainsi, avec un dispositif captant la pression dans le sol de la lande qui envoie une dose de la drogue dans l'air, chaque fois que Henry tentait d'affronter ses peurs, sa folie était accentuée. Alors que Henry s'apaise, tous entendent le grognement du chien, qui n'avait pas été tué mais abandonné par les aubergistes et maintenant apparait en hauteur de la lande. Sous l'effet de la drogue, Sherlock voit le visage de Jim Moriarty fondre sur lui, mais il combat sa vision pour montrer qu'il s'agit du Dr Frankland qui encourage le chien à les attaquer. Mais le chien est finalement abattu par Lestrade et John. Henry tente alors de tuer Frankland mais celui-ci parvient à fuir vers Baskerville, où il tombe sur un champ de mines et explose avec l'une d'elles. Le lendemain, Sherlock et John prennent un café tout en discutant du cas. John s'interroge encore sur sa vision du chien dans le laboratoire alors qu'il n'était jamais allé dans la lande. Sherlock lui explique que les tuyaux devaient relâcher du gaz avec la drogue, et John comprend alors que c'est Sherlock qui l'a enfermé pour son expérience. Les derniers plans montrent Mycroft ordonner la libération de Moriarty, détenu dans une prison gouvernementale où il a écrit le nom de Sherlock sur tous les murs. (wikipédia)
- épisode 3 - La Chute du Reinchenbach (Reichenbach Fall):
L'épisode s'ouvre sur le premier rendez-vous de Watson avec sa psychologue depuis dix-huit mois. Il tente de lui expliquer la raison de sa visite impromptue, et finit par lui dire « mon meilleur ami, Sherlock Holmes, est mort ». En flashback, on se retrouve trois mois plus tôt, où Holmes reçoit divers cadeaux de la part des personnes pour qui il a résolu des enquêtes, s'attirant ainsi l'attention non désirée des médias. Pendant ce temps, Moriarty, récemment libéré de prison par Mycroft Holmes, entreprend de déjouer la surveillance de la Tour de Londres, et de s'emparer des Joyaux de la Couronne où ils sont exposés, en même temps qu'il organise, à l'aide d'un code numériquevia son téléphone, l'ouverture du coffre fort de la Banque d'Angleterre et de la Prison de Pentonville. Avant de briser la vitre protégeant les Joyaux, il y écrit les mots « Trouvez Sherlock » (« Get Sherlock » en anglais), de façon à ce qu'ils soient vus par les caméras de surveillance. Il attend alors la police assis sur un trône et vêtu des bijoux. Sherlock est appelé à témoigner au procès de Moriarty. Bien qu'il explique que Moriarty est le cerveau criminel derrière les différents casses, Moriarty menace les familles des membres du jury qui le déclarent non-coupable, en dépit de l'absence de défense de celui-ci. Après sa libération, Moriarty rend visite à Sherlock au 221B Baker Street, à qui il explique qu'il a des plans le concernant, et en profite pour lui signifier sa reconnaissance de dette (pour avoir facilité ses plans dans Un scandale à Buckingham) par l'acronyme « I O U » (qui signifie, en anglais, “I owe you”, je te dois). Pendant ce temps, Mycroft informe John qu'un certain nombre d'assassins mondialement connus ont élu domicile sur Baker Street, et lui demande de veiller sur Sherlock. Sherlock et John enquêtent sur l'enlèvement des enfants de l'ambassadeur américain, soigneusement orchestré par Moriarty pour faire de Sherlock un suspect en faisant croire que c'est lui qui l'avait organisé. En effet, la petite fille qu'il retrouve se met à hurler à l'instant où Sherlock entre dans la pièce, et Lestrade, poussé par le sergent Donovan et le légiste Anderson, finit par mettre Sherlock en état d'arrestation, mais ce dernier s'échappe avec John. Ils réalisent que les assassins, engagés par Moriarty suite à son message « Trouvez Sherlock », sont convaincus que Sherlock détient une clé électronique permettant d'ouvrir tous les systèmes de sécurité modernes, chacun d'entre eux essayant de mettre la main dessus avant les autres. Ils forcent la porte d'une journaliste qui avait annoncé son intention de publier un portrait à charge de Sherlock. Ils découvrent alors que Moriarty a créé une fausse identité, Richard Brook, qui serait en fait un acteur engagé par Sherlock pour prétendre être un criminel, et participer à sa renommée. Acculé, tout le monde croyant qu'il est en fait un imposteur, Sherlock tente une dernière manœuvre. Débarrassé de John, il contacte Molly à l'hôpital, et demande son aide. Quant à lui, John rencontre Mycroft, qui lui avoue qu'il a divulgué des informations personnelles sur Sherlock à Moriarty pendant l'interrogatoire de celui-ci, quelques mois plus tôt. John retrouve Sherlock à St Barts, mais repart rapidement après avoir appris que Mrs Hudson avait été blessée. Sherlock organise une rencontre avec Moriarty sur le toit de l'hôpital, et lui annonce qu'avec le code que Moriarty lui a transmis en morse au cours de sa première visite, il est capable de prouver que Richard Brook n'existe pas. Moriarty dévoile qu'il n'y a pas de code, que le morse qu'il avait vu était en fait une mélodie de Bach, que ses crimes avaient en réalité été commis avec des complices humains, et que Sherlock doit se suicider pour compléter son plan, sous peine d’ordonner l'exécution de John, Mrs Hudson et Lestrade. Réalisant qu'il est le seul à pouvoir empêcher les assassinats, Moriarty se tire une balle dans la bouche. Désormais sans moyen d'empêcher le meurtre de ses amis, Sherlock appelle John, qui revient de Baker Street après avoir découvert que Mrs Hudson n'était pas blessée. Lui annonçant qu'il avait menti depuis le début et qu'il avait organisé chaque succès de ses enquêtes, Sherlock dit au revoir à John et saute du toit de St Barts, sous l’œil de John depuis la rue. Après avoir été renversé par un cycliste dans sa précipitation, John observe le corps inanimé de Sherlock être transporté dans l'hôpital. De retour dans le cabinet de sa psychologue, John est incapable d'exprimer ses sentiments vis-à-vis de la tragédie qui vient de toucher son ami, alors que The Sun titre « Le faux génie se suicide ! ». Plus tard, il se rend avec Mrs Hudson devant la tombe de Sherlock, devant laquelle John réaffirme sa foi envers lui, et le supplie de ne pas être mort. Dans l'ombre du cimetière, Sherlock observe silencieusement John qui s'éloigne. (wikipédia)
SAISON 3
- épisode 1 - Le Cercueil Vide (The Empty Hearse):
Deux ans après sa mort supposée, Sherlock Holmes a été totalement innocenté des accusations qu'avait accumulées contre lui James Moriarty. La scène d'ouverture montre une hypothèse sur la façon dont Sherlock pourrait avoir simulé sa mort : en sautant du toit avec un élastique, rebondissant et entrant dans le bâtiment par une fenêtre, où Molly l'aurait attendu. Pendant que Sherlock se dissimulait, des membres de son réseau de sans-abris auraient mis un masque sur le visage de Moriarty pour qu'il ressemble à Sherlock, et ensuite l'auraient traîné dans la rue jusqu'au point où Sherlock aurait atterri et l'auraient aspergé de faux sang. Pendant que ceci arrivait, Watson gisait au sol, sa vision obscurcie, venant juste d'être heurté par un cycliste, qui faisait partie de la conspiration. Derren Brown serait alors apparu et aurait hypnotisé John pour donner aux autres le temps d'installer le corps, mais finalement tout ce scénario est une théorie conspirationniste d'Anderson que Lestrade trouve totalement fantaisiste. Sherlock, en pleine mission d'infiltration dans les Balkans pour démanteler le réseau Moriarty, est exfiltré par Mycroft et retourne à Londres menacée d'une attaque terroriste. John a repris tristement sa vie de médecin et a une fiancée, Mary Morstan, dont il a l'intention de demander la main dans un restaurant, c'est le moment que choisit Sherlock pour réapparaître.Il se déguise en maître d'hôtel et se rend à la table de John qui finit par le reconnaître. Sherlock lui révèle que sa mort était fausse, et John, très fâché et blessé, le frappe un certain nombre de fois au visage. Sherlock engage donc Molly pour l'aider dans l'affaire d'un squelette trouvé dans un souterrain derrière un bureau contenant un manuscrit : Comment je l'ai fait par Jack l'Éventreur, qui est en fait un faux créé par Anderson (maintenant un spécialiste de la théorie du complot, motivé par son sentiment de culpabilité dans les calomnies contre Sherlock) afin d'attirer Sherlock hors de sa cachette. Molly retourne à ses occupations ordinaires, de plus elle est fiancée. Plus tard ce jour-là, Mary reçoit un texto crypté révélant que John a été kidnappé par des inconnus et qu'il mourra s'il n'est pas secouru à temps, avec des indications sur son emplacement. Sherlock et Mary se précipitent à moto, et parviennent à l'extraire d'un bûcher de la Guy Fawkes Night. Entre temps Sherlock s'est chamaillé avec Mycroft, a mis ses parents hors de Baker Street, et est tombé dans les bras de Mrs Hudson et de Lestrade. John et Holmes se consacrent alors au problème terroriste de Mycroft, qui s'avère être planifié par un « groupe souterrain » (underground) au sens propre du terme (c'est-à-dire un mouvement basé dans le métro de Londres). Ils découvrent qu'une figure clé du complot est un politicien appelé Moran, pair du Royaume à la solde de la Corée du Nord, qui avec son organisation prévoit de faire sauter le Parlement durant une session destinée à voter une loi anti-terroriste. Près d'une station fantôme du métro, ils parviennent à trouver un wagon dont la disparition avait été constatée, ils découvrent qu'elle est bourrée d'explosifs, que Sherlock parvient à désamorcer en actionnant l'interrupteur, non sans avoir fait croire à Watson que la bombe ne pouvait pas être désamorcée, le faisant paniquer et lui faisant dire que Sherlock lui avait manqué, qu'il était un génie, qu'il lui pardonnait, cela pour son plus grand embarras ultérieur. On découvre en même temps comment Sherlock a vraiment simulé son suicide, avec l'aide de Mycroft et Molly, et on s'interroge sur l'identité du personnage qui a cherché à faire brûler John sur un bûcher.
- épisode 2 - Le Signe des Trois (The Sign of Three):
John Watson et Mary Morstan se marient. Lors du banquet, Sherlock Holmes, choisi comme témoin par John Watson, se lève pour un discours, mais il hésite et semble ne pas savoir quoi dire. Des flashbacks montrent qu'il a eu des difficultés à mettre au point un discours. Dans l'assemblée se trouvent Lestrade, Molly, Tom, et Mme Hudson, de même que le major Sholto, l'ancien officier supérieur de John. Ce dernier est ravi que Sholto, qui n'avait pas envoyé de réponse à son invitation, soit venu. On apprend que Sholto, qui fait l'objet de nombreuses critiques des médias et reçoit des menaces de mort suite à la perte d'une unité de nouvelles recrues en Afghanistan, vit en reclus. Sherlock se saisit de ses notes et, pour montrer les mérites de John, commence à raconter l'histoire d'une tentative de meurtre récente sur laquelle il a enquêté avec lui, « la Sentinelle sanglante » : un Grenadier de la garde a été trouvé inconscient dans la douche de sa caserne, blessé par arme blanche ; mais l'arme n'a pu être trouvée, et il n'y avait aucune issue par laquelle l'assaillant pût s'échapper. Ce grenadier avait requis les services de Sherlock car il se sentait espionné. Sherlock admet à regret qu'il n'a pas pu résoudre l'affaire, mais John a sauvé le grenadier. Sherlock oriente alors son récit vers un autre cas, « l'Homme éphémère » ; une femme qui travaille comme infirmière particulière, découvre, plusieurs jours après être sortie dîner avec un homme qu'elle a raccompagné dans son appartement, que l'appartement est vide et que son occupant était mort des semaines auparavant. Sherlock et Watson visitent l'appartement mais, ivres parce qu'ils célébraient l'enterrement de vie de garçon de Watson, ne parviennent pas à y trouver des indices. Une chose est étrange : la femme connaît le second prénom de John. Plus tard, Sherlock discute en ligne avec plusieurs autres Londoniennes qui ont vécu une semblable aventure, mais ne parvient pas à trouver un lien entre elles. Il conclut dans son discours que l'homme en question doit être une personne lassée du mariage. Il a dû utiliser des déguisements et reçu ces femmes dans les appartements d'hommes récemment décédés, dont il a trouvé les noms dans les nécrologies de journaux. Au moment du toast, Sherlock se fige, comprenant tout à coup. Sachant que Watson n'utilise jamais son second prénom, il est évident que la femme doit l'avoir lu dans un document très spécifique, en fait, dans l'invitation au mariage, dont l'un des destinataires était le Major Sholto. Sherlock en conclut que toutes les femmes contactées travaillaient pour Sholto et étaient tenues au secret, étant qui sa jardinière, qui sa garde du corps, qui son infirmière particulière... Quelqu'un essaie donc d'entrer en contact avec ses familiers afin de l'attaquer, et la célébration du mariage est l'occasion idéale. Sherlock glisse une note à Sholto qui retourne à sa chambre d'hôtel pour se saisir d'un pistolet afin de se défendre. Cependant, Sherlock déduit finalement que le crime contre la sentinelle pourrait être lié, et observe que l'élément commun est le port d'un uniforme militaire. Puisque le grenadier s'est effondré sous la douche, il doit avoir été poignardé auparavant par une lame très fine, mais la ceinture très serrée de l'uniforme militaire faisant office de garrot, les dégâts n'apparaîtraient qu'une fois la ceinture desserrée. Ils envoient Sholto à l'hôpital et arrêtent le photographe du mariage, qui s'avère avoir l'intention de tuer Sholto, son frère étant un des soldats qui ont péri. Ensuite, le soleil s'étant couché, la partie dansante du mariage commence. Sherlock révèle à John et Mary trois signes qu'il a observés, d'où il déduit qu'elle est enceinte, puis, incapable de trouver une cavalière, il quitte la réception, seul dans la nuit.
- épisode 3 - Son Dernier Coup d'Éclat (His Last Vow):
Un cas est soumis à Holmes, il concerne des lettres volées à Lady Smallwood, une dignitaire britannique, soumise donc à un chantage. Cela le met en conflit avec Charles Augustus Magnussen, un magnat de la presse à scandale. Sherlock comprend que Magnussen manipule tout le monde grâce à ce qu’il appelle des « points de pression ». Il essaie de s’en prendre à Holmes, en vain, car il ne peut trouver de point de pression hormis son addiction à la drogue. Sherlock et Watson entrent par effraction dans les bureaux de Magnussen, grâce à la complicité de Janine, son assistante personnelle, que Sherlock a séduite. Sherlock y découvre une femme tenant en joue Magnussen ; il s’agit de Mary Watson sur laquelle le maître chanteur détient des secrets. Mary abat Sherlock d’une balle dans la poitrine. Sherlock se réfugie dans son palais mental pour essayer de lutter contre la mort; au moment de lâcher prise et de mourir, Moriarty apparaît dans son esprit et lui rappelle que John Watson est en danger. A cette pensée le cœur de Sherlock se remet à battre. À peine remis, Sherlock piège Mary afin que John découvre la vérité sur elle, il sait que Mary Morstan n'est pas son vrai nom et qu’elle a travaillé comme agent de la CIA. Watson est hors de lui; Sherlock lui fait comprendre qu'il n'est pas tombé amoureux de Mary par hasard mais qu'il est attiré par les personnes dangereuses et "border-line". Il lui explique aussi qu'en l'abattant et en appelant de suite une ambulance, Mary lui a donné une chance de survivre. Mary confie à son mari une clé USB contenant son passé de tueuse au service de la CIA. Quelques mois plus tard, tous fêtent Noël chez les parents de Sherlock, Watson accorde son pardon à Mary et détruit la clé USB contenant les révélations sur sa femme. Mycroft informe Sherlock d’une offre du Gouvernement, mais il veut que son frère refuse cette mission en Europe de l’Est car elle entraînerait la mort de Sherlock en moins de 6 mois. Et sa mort lui briserait le coeur. Sherlock est interloqué par cette marque d'affection, Mycroft accuse le punch de Noël de cet accès de sensiblerie fraternelle. Mais en réalité, Sherlock attendait que tout le monde, Mycroft, ses parents, Mary subissent les effets de la drogue dans le punch pour dérober l'ordinateur portable de Mycroft afin de le donner à Magnussen en échange du dossier sur Mary. Ils sont emmenés chez Magnussen où ils découvrent ce qui fait sa puissance et son impunité. Il leur montre Appledore, sa "forteresse" ,mais la chambre forte est vide de tout dossier concret . La forteresse est son "palais mental" où il mémorise toutes les informations lui permettant d'exercer un chantage. Il leur déclare que "savoir est posséder" et démontre son pouvoir en faisant des pichenettes sur le visage de John, menaçant de livrer Mary à ses nombreux ennemis si John ne se laisse pas faire. John n'a pas le choix et doit accepter ces petites humiliations sur le conseil de Sherlock. Quand la police et Mycroft arrivent, Sherlock abat Magnussen et est arrêté, Mary n'a plus rien à craindre. Plus tard, Mycroft fait comprendre aux services secrets que Sherlock, très populaire, ne peut être incarcéré sans que cela ne déclenche des émeutes. Sherlock est donc envoyé par le MI6 en Europe de l’Est pour travailler sous couverture pendant 6 mois (la mission même que Mycroft voulait que Sherlock refuse). Sherlock fait ses adieux à Watson. Après quatre minutes de vol, les écrans télé dans tout le Royaume-Uni sont piratés pour diffuser en boucle une vidéo de Jim Moriarty scandant : « Est-ce que je vous ai manqué ? » Sherlock est rappelé immédiatement. Watson dit à Mary : « Il y a un vent d’est qui se lève ». Un vent supposé tout emporter sur son passage, à commencer par Moriarty.
THE GAME IS NEVER OVER ( c ) E D E N |
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