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 Sebastian Moran :: Un innocent n'est qu'un assassin qui a manqué de temps. [Terminé]

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Sebastian Moran

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MessageSujet: Sebastian Moran :: Un innocent n'est qu'un assassin qui a manqué de temps. [Terminé]   Sebastian Moran :: Un innocent n'est qu'un assassin qui a manqué de temps. [Terminé] EmptyDim 10 Aoû - 19:04

Sebastian Moran


   
 
Sebby/Tiger ▬ 35 ans ▬ Sniper de Moriarty ▬ Célibataire, mais pas vraiment ▬ Moriarteam ▬ Bisexuel ▬ Semi-Inventé ▬ FT Michael Fassbender


 
Ego surdimensionné ▬ Susceptible ▬ Courageux ▬ Un tantinet hypocrite ▬ Geek ▬ Passionné d'automobile ▬ Charismatique ▬ Pas du tout romantique ▬ Grossier


   
MON CARACTÈRE DE COCHON




L’homme dans l’ombre de Moriarty. C’est comme ça que l’on voit Sebastian. Personne ne se doute que derrière la façade de cette armoire à glace se cache un véritable feu de forêt.  Sebastian n’est pas spécialement mauvais, dans le fond. Il exécute les ordres, Moriarty paye suffisamment pour qu’il habite une maison confortable. Cependant, s’il y a bien une chose qu’il ne lui avouera jamais, c’est cet attirement magnétique pour le criminel consultant. Et oui, si on veut s’attaquer à Sebastian, il suffit que le nom de son patron soit placé dans la menace pour le mettre hors-de-lui. C’est sa principale faiblesse, il doit se l’avouer. Il y a des choses qu’il aime chez son patron, comme lorsqu’il lui dévoue entièrement sa confiance, quand il lui donne des missions compliquées. En revanche, ce qu’il déteste, c’est ce petit surnom que le psychopathe lui a trouvé. « Sebby », ça va encore. Mais « Tiger »… Du coup, pour se venger, Sebastian le surnomme « Kitten » de temps à autre. Ca l’énerve à un point pas possible, mais ça l’amuse énormément.

A côté de son job de sniper/bras droit/nounou de Jim, Sebastian est un homme normal, qui aime presque autant les voitures que Jim. Et oui, notre Sebastian est un grand fan d’automobile. Au niveau des conquêtes… Et bien, quand Jim n’est pas au courant, il peut avoir des dizaines et des dizaines de femmes différentes à ses bras. Notre Moran est un vrai Don Juan, qui aime autant les hommes que les femmes. En revanche, quand Jim s’en mêle… Généralement, la proie de Sebby disparaît mystérieusement du jour au lendemain, et Môsieur Moriarty se met soudain à lui tourner au tour, à le coller. Quand on vit avec quelqu’un comme James Moriarty, vous pouvez dire adieu à votre vie privée, définitivement. Naturellement têtu, Sebastian n’hésite pas à tenir tête à Jim quand il n’est pas d’accord, à ses risques et périls. Ses fréquentations l’ont forcé à devenir méfiant envers les inconnus et autres personnes louches qui tournent autour de son patron. Plus le temps passe, moins il devient fréquentable. Agressif à la moindre petite critique, il n’en reste pas moins gentleman et poli quand ça lui prend.

On ne peut pas connaître d’avance la réaction d’un tigre.




   
JE SUIS COMME CA




S’il y a bien une chose que Sebastian déteste vraiment, c’est le matin. Son boulot se terminant très souvent à des heures impossibles, en particulier lorsque son patron décide d’éliminer quelqu’un la nuit, il est très rare de le voir debout avant onze heures du matin. Sauf quand Jim est d’humeur sadique et décide de l’appeler à trois heures du matin alors qu’il vient à peine de se coucher. Généralement, dans les moments comme ça, Sebby est d’une humeur de chien. Il ne supporte pas la présence d’autre snipers, grogne pour simple réponse, il n’est pas rare non plus qu’il s’endorme en attendant sa cible, et parfois, très peu de fois, la rater. Autre manie de notre criminel, Sanchez, son arme. C’est un peu ce que les Bee Gees sont à Jim. C’est sa meilleure amie, il peut passer des heures et des heures à la nettoyer, la lustrer, la démonter, la remonter. Jim ne comprend pas ce tic, et, quand il veut se venger, il s’en prend à son arme. C’est son second enfant, le premier étant Jim. Lorsqu’il ne joue pas avec son arme, il aime traîner dans les bars. L’alcool, c’est un peu une solution de facilité pour oublier le fait qu’il est aussi humain que Jim et qu’il viendra un jour où il se fera tuer de sa faute. Et très souvent, la soirée se termine dans un lit avec une femme ou un homme inconnu. Et il ne s’en rend compte que le matin. Sebastian est un geek, ça, il le reconnaît. Dès qu’il a cinq minutes de libre, il fonce sur Internet. Il déteste aussi bien la montagne que la mer et ne se sent vraiment chez lui exclusivement dans sa chambre. Vu que ses vacances sont assez rares, il ne quitte que très rarement Londres. De toute manière, il a trop peur de salir sa voiture de luxe pour la sortir du garage. C’est pour ça que, très souvent, il squatte la voiture de Jim.



BEHIND THE MASK


Mon pseudo est Oriane/ Myfanwi/ The Little Blue Box, j'ai dix-sept poireaux et je suis disponible tous les jours, du matin au soir quand j’ai pas cour, sinon le soir et la nuit, en général. J'ai connu le forum grâce à PRD, je suis le projet depuis le tout début Very Happy . J'aime le design, il a trop la classe, et le codage aussi, et puis le contexte et j'apprécie moins Justin Bieber sur le QEEL x) Mais je m’y habituerai x) . J'aimerai ajouter que Coin-coin.


 
( c )  L E O R


Dernière édition par Sebastian Moran le Mar 12 Aoû - 12:51, édité 9 fois
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Sebastian Moran

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MessageSujet: Re: Sebastian Moran :: Un innocent n'est qu'un assassin qui a manqué de temps. [Terminé]   Sebastian Moran :: Un innocent n'est qu'un assassin qui a manqué de temps. [Terminé] EmptyDim 10 Aoû - 19:04

STORY OF MY LIFE



I. Once upon a time...

Lord Augustus Moran. Mon père. Mon exemple. Depuis que je suis tout petit, je rêve de lui ressembler. L'homme d'affaire par excellence à qui tout réussi. On peut dire que j'ai eu une enfance banale, à la limite du pourri-gâté. Mon cher père étant ambassadeur allemand en Angleterre, je vivais plutôt bien, dans une grande maison. En revanche, à cause de mon rang, je voyais très peu de monde. Ou alors des petits aristocrates, qui te regarde de haut en rentrant dans la pièce où tu joue, à quatre pattes, avec les légos. Et oui. On ne pouvait pas dire que le jeune Sebastian était l'aristocrate parfait. De toute manière, je n'ai jamais apprécié les costumes et autres vêtements dans le genre. Ca me faisait plus ressembler à un pingouin qu'autre chose.

J'ai eu un enseignement à domicile jusqu'au lycée. Je vous laisse imaginer ce que ça fait. Quinze années tout seul avec un abruti de professeur qui vous tape dessus juste parce que tu n'as pas appris sa saleté de citation de Pluton, qui, par ailleurs, ne sert à rien. Au lycée, je n'ai jamais réussi à avoir de réels amis. En même temps, j'ai pris l'année en court de route, donc, forcément, on vous traite comme le petit nouveau perdu. Et ça m'énervait profondément. Oh, le BAC ? Je l'ai eu avec mention très bien. Ce n'était pas bien dur, la moitié de ce que l'on apprenait en cours, je le savais déjà. Et malheureusement, dans notre société, les personnes intelligentes sont considérés comme des "chouchous". C'est ce qu'il s'est passé avec moi. Quand je n'étais pas mis à l'écart, je devais me battre pour sauver mes vêtements, mon sac...

Après le BAC, j'ai eu la chance d'être reçu à l'université d'Oxford. J'ai quitté la maison familiale pour pouvoir devenir indépendant. Je combinais à la fois un petit boulot de serveur, et les études, qui me prenait énormément de temps. Il y a des jours où j'oubliais de m'alimenter, pris dans le feu de l'action. J'étais obsédé par l'idée de réussir le concours final. Je l'ai raté. Malheureusement. Et, à vrai dire, ça m'a totalement découragé. J'ai totalement abandonné mon rêve de devenir un grand homme d'affaires pour me plonger dans un univers bien plus sombre : la guerre.

II. And then come the war.

A vrai dire, lorsque j'ai commencé l'entraînement pour devenir militaire, je ne savais pas dans quoi je me lançais. Les exercices étaient très compliqué au début, puis, petit à petit, j'ai pris de l'endurance pour enfin atteindre un niveau convenable aux yeux du sergent qui s'occupait de nous. Mon point fort était les armes, bien évidemment, et plus particulièrement sur la visée longue. J'ai longtemps reçu le surnom de 'La Cible' au sein de mon régiment. Mon record reste aujourd'hui celui d'avoir abattu un militaire ennemi à plus de trente mètres.

Peu de temps après mon entraînement, j'ai reçu le grade de Colonel, et j'ai été envoyé en Afghanistan. Au début, tout allait bien. Avec mon régiment, on ne faisait que des missions de reconnaissance, on avertissait la population des dangers potentiels et autres. Puis on s'est fait piégés, après quatre semaines de combat. On était en train de sortir une jeune fille des décombres d'une villa, quand une salve de balles a volé au dessus de nos têtes. Nous nous sommes repliés derrière un mur. Il y avait une voiture, pas loin, la notre. "Moran, va chercher des renforts", avait dit le sergent. Je me suis précipité vers la voiture et j'ai démarré. Pour la version officielle, j'ai fuis. Dans ma version, j'ai assisté à un massacre. Il y a eu un tir de lance-roquette. Des cris. Et le silence. Je n'ai pas pu aller chercher les renforts, puisque la voiture n'avait plus d'essence.

On m'a retrouvé le lendemain, recroquevillé dans cette même voiture, en train de pleurer. Oui, j'avais perdu mon sang froid. Immédiatement, on m'accusa d'avoir fait tuer les huit hommes de mon régiment, et j'ai été rapatrié en Angleterre. Grâce à un tour de passe-passe avec un complice, j'ai réussi à échapper aux autorités. Mais un autre problème de taille allait se dresser sur mon chemin : James Moriarty.

III. Sometimes, someone save you.

Comment as-tu réussi à t'attirer le regard de James Moriarty ? me demande certains. J'ai bien une réponse. Je ne l'ai pas fait. Ce n'est pas vous qui trouvez James Moriarty, c'est James Moriarty qui vous trouve. Alors que je broyez du noir, à cause de ce que j'avais faire, cet homme a débarqué dans ma vie. Il m'a expliqué qu'il était, et ce qu'il voulait, c'est à dire moi, et mon habilité à tirer. Dieu seul sait comment il avait eu tous ses renseignements sur moi. Je n'ai pas vraiment eu le choix. En échange de services, il m'a promis d'effacer mon passé de militaire de la base de données, pour que ma "lâcheté" soit effacée de l'histoire.

L'offre était trop alléchante. J'ai accepté. On ne devient pas bras droit du plus grand génie criminel de l'histoire en quelques jours. Lorsque je l'ai rejoint, Jim était au tout début de sa carrière de criminel consultant. Je ne faisais qu'exécuter des gens trop bavard. Mais mon potentiel m'a rapidement fait monter en grade. Au point que, après presque deux ans, j'avais obtenu toute sa confiance. Je l'ai aidé dans son plan pour détruire Sherlock. A ce moment là, Jim et moi étions très proches, beaucoup trop proches. J'avoue que de temps en temps, alors que l'alcool coulait dans mes veines, je lui ai envoyé des textos très.... Enfin, c'est confidentiel. Lui en revanche, il ne m'a jamais laissé l'approché de trop près. Bien que depuis quelques temps, on se tutoyait, et qu'il arrivait, lorsqu'il était de bonne humeur, qu'il m'appelle par mon prénom, ou par mon surnom. Ah... Ce que j'en ai entendu des "Sebby" et des "Tiger". Il sait parfaitement que ça a le don de m'irriter, mais il ne se gêne pas pour le faire.

Tout ça dura jusqu'à ce fameux jour, où le plan final de Jim était de faire sauter Sherlock de St Bart. Ce jour où rien ne s'est passé comme prévu.

IV. And other times, he break you.

Il m'avait dit "Attends John, et tu tires s'il ne saute pas.". J'ai obéi, comme d'habitude, j'avais confiance en lui. Quand vous travaillez pour quelqu'un comme Jim Moriarty, le quotidien c'est le danger, la peur, le feu. Et parfois la mort. J'attendais, j'avais Watson dans le colimateur, attendant patiemment le signal de Jim. Je le voyais, en haut de St Bart, avec Holmes. Il venait tout juste de lui serrer la main, et soudain, il sortit une arme. Et il la plaça dans sa bouche. Et il fit feu. Et ton monde s'écroule. Comme si la Terre entière tombait sur tes épaules.

Bien sûr, dans un réflexe stupide, j'ai hurlé son nom. Puis je l'ai appelé. Une fois, trois fois, cinquante fois. Il n'a jamais répondu à son téléphone. J'ai paniqué, je l'avoue. J'ai rangé mon arme, et j'ai descendu les escaliers quatre à quatre. Je suis tombé sur un des chiots de Mycroft. Je l'ai descendu d'une balle dans la tête. J'ai attendu. Un autre attendait dehors. Le coup de feu semblait l'avoir satisfait. Abruti, toujours vérifier que la victime est bien morte avant de partir. J'ai tracé vers St Bart. Autour du cadavre de Holmes, des centaines de personnes s'entassaient. J'arrivais à percevoir la voix de Watson dans le tas. Moi... Et bien moi je suis monté sur le toit de St Bart. Il n'y avait plus personne. Ils avaient dû l'emmener. Je me souviens m'être laissé tombé, et avoir pleuré, des heures durant.

Stupide n'est-ce pas ? Pleurer pour un criminel. Mais ce n'était pas n'importe quel homme, c'était James Moriarty, c'était ma vie. Et il venait de la détruire en se suicidant. Après ça, j'ai sombré dans l'alcool. Je ne sortais plus que très rarement de chez moi, ma famille m'éviter. J'ai appris que mon père avait été arrêté entre deux. Mais ça n'avait pas d'importance. Parce que j'étais seul désormais.

V. And here we go again...

Minuit. Je suis devant l'ordinateur, comme d'habitude, attendant des ordres qui ne viendront certainement jamais. Je commence à m'endormir, quand on sonne à la porte. J'ai pas envie d'ouvrir, à moitié ivre, un verre de whisky à la main. L'autre emmerdeur insiste. Je me lève, je me dirige vers la porte et j'ouvre. Le verre tombe et se brise. Le poing part tout seul. Sur le sol, se tenant la joue, James Moriarty. Je savais pour Sherlock, je l'avais vu aux infos. J'avais espéré qu'il soit vivant. Je l'avais hurlé de tout mon être. Il se relève dignement, essuie son costume. Et il me sort comme ça qu'il vient de créer une école et qu'il a besoin de personnel. Je rigole, comme un fou. Il apparaît comme ça, et il me demande de l'aider. J'ai envie de le tuer.

Deux semaines plus tard. Je suis proviseur adjoint de sa foutue école, et professeur de tir par dessus le marché. Comme si j'avais que ça à faire. Entre les missions et son école de psychopathes, je sens que je ne suis malheureusement pas prêt de vivre normalement. Mais qu'est-ce qu'il m'a pris de souhaiter son retour ?




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Sebastian Moran

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MessageSujet: Re: Sebastian Moran :: Un innocent n'est qu'un assassin qui a manqué de temps. [Terminé]   Sebastian Moran :: Un innocent n'est qu'un assassin qui a manqué de temps. [Terminé] EmptyMar 12 Aoû - 12:28

Et voilà ^^ Fiche terminée Very Happy
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Anastasia K. Keller

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MessageSujet: Re: Sebastian Moran :: Un innocent n'est qu'un assassin qui a manqué de temps. [Terminé]   Sebastian Moran :: Un innocent n'est qu'un assassin qui a manqué de temps. [Terminé] EmptyMar 12 Aoû - 12:52

Validée of course ^^
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MessageSujet: Re: Sebastian Moran :: Un innocent n'est qu'un assassin qui a manqué de temps. [Terminé]   Sebastian Moran :: Un innocent n'est qu'un assassin qui a manqué de temps. [Terminé] Empty

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